Vincent Blondel, ancien recteur de l'UCLouvain, a été officiellement installé à la présidence du Sénat ce vendredi matin, succédant à Valérie De Bue.
Début février, le Perwézien Vincent Blondel a été choisi par Les Engagés pour présider le Sénat. Candidat pour la première fois aux élections de juin 2024, il a officiellement pris la tête de l’institution ce vendredi matin, dans une législature particulière, puisque le gouvernement souhaite sa suppression.
Effectivement, le gouvernement a annoncé qu'il souhaitait, d’ici les prochaines élections législatives – donc à priori en 2029 –, la suppression du Sénat. "Mais d’ici là, le Sénat continue à exister, son personnel est présent, ses missions doivent être remplies. Il y a une multitude de missions, donc tout ce travail continue." explique le président du Sénat.
La suppression du Sénat nécessite une modification constitutionnelle, ce qui implique de réunir les deux tiers des voix à la Chambre et au Sénat. "Je suis là pour entendre les différents positionnements, mener les débats et accompagner cette évolution", ajoute Vincent Blondel.
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