
Les élections régionales, fédérales, et européennes sont en ligne de mire, et les partis fourbissent leurs armes en vue de ce « combat » électoral.
Du côté du PS, on présente évidemment les candidates et les candidats les mieux « armé.e.s », mais l’ordre de combat change quelque peu par rapport au scrutin précédent. Ainsi, pour « monter au front » au fédéral, c’est un nouveau duo que l’on retrouve en tête de liste. Aux côtés de Jean-Marc Délizée, habitué à cette « place de combat », on retrouve désormais Éliane Tillieux. Ancienne ministre et actuelle députée wallonne, la Namuroise change donc de terrain de combat. Après avoir été « fer de lance » de la Wallonie durant ses mandats ministériels, elle réoriente donc son combat politique vers la sphère fédérale. Elle occupera la tête de liste, alors que Jean-Marc Delizée occupe la deuxième place. Et si une candidate monte vers le fédéral, une autre rejoint le scrutin régional… Dans le duo de tête de liste pour la circonscription de Namur pour le Parlement wallon, on retrouve en effet Gwénaëlle Grovonius. Une Namuroise remplace donc… une Namuroise. L’actuelle députée fédérale vivra la campagne électorale aux côtés de Jean-Charles Luperto. L’homme fort de Sambreville occupera la tête de liste. Enfin, toujours pour les élections régionales, mais au niveau de l’arrondissement de Dinant-Philippeville cette fois, c’est un duo d’habitués que l’on retrouve chez les socialistes. Pierre-Yves Dermagne occupera la tête de liste. Le député wallon sortant de Rochefort sera épaulé par Christine Poulin. La bourgmestre de Walcourt, également députée wallonne sortante, a donc pris goût au « combat wallon ».